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Les wokes me tapent sur les nerfs!


À cause de ces clowns, une majorité se plie à une minorité qui vous empêche de vivre pleinement, dans le sens où on vous interdit des choses, somme toute banales, et on vous fait des histoires parce que vous êtes la source d’une « micro-agression ».


Quand j’étais jeune, et ça fait un bout de temps, on passait nos samedis matins à écouter des émissions qui, aujourd’hui, sont considérées par les wokes comme d’une violence extrême. Me semble que je ne suis pas devenu une si mauvaise personne à regarder Johny Quest, Cecil the Sea Serpent, Popeye, le Roadrunner ou Pepe Le Pew. Et, parlons de ce dernier qui a été rayé de la carte, il y a quelques années, parce qu’il était trop insistant en amour, il aurait été un grand micro-agresseur. La belle affaire! Avant de faire disparaître ce personnage, vous auriez peut-être dû vous informer à savoir qu’il était inspiré de nul autre que Maurice Chevalier.


Parlons du Lone Ranger et de Tonto. Pauvre Tonto, un autochtone esclave d’un blanc redresseur de torts. Savez-vous comment nous voyions Tonto? C’était l’ami du Lone Ranger et un compagnon très utile lorsque venait le temps de régler des problèmes avec les Indiens.


Zorro et le Sergent Garcia. Oh! Pauvre Sergent Garcia qui était traité comme un moins que rien par Diego de la Vega, aka Zorro. Les wokes le verraient comme une personne obèse harcelée par un individu à la cape noire. Nous, on voyait un sergent pas trop futé qui se faisait avoir. Qu’est-ce que le fait qu’il était gros avait à voir là-dedans?


Et, à propos de Popeye et Brutus… Ils se tapaient dessus joyeusement. Aujourd’hui, c’est considéré comme d’une violence infâme. Pourtant, on en a écouté des épisodes de Popeye et nous ne sommes pas devenus des débiles pour autant.


Les années 2000 semblent celles où on veut éliminer tout ce que, personnellement, nous n’aimons pas et tenterons d’amener le plus de gens possible dans notre sillage. Nous allons crier plus fort que la majorité (silencieuse) et nous allons avoir ce que nous voulons.


Dans les années ’50 et ’60, là d’où je viens, on jouait au cowboy, on grimpait aux arbres, on jouait à la balle l’été et au hockey l’hiver. On avait nos harceleurs et on ne passait pas notre temps à brailler, on se montait « une gang » et on réglait le problème. Impossible de faire tout cela aujourd’hui, ce serait aller contre les wokes.


Finalement, chers wokes, je trouve que vous manquez totalement de jugement. Changer l’histoire pour qu’elle vous convienne? À mon avis, c’est la dernière des conneries. Au lieu de tenter de faire de notre monde un ramassis d’incultes à la botte de quelques influenceurs, commencez donc par vous servir adéquatement du petit pois vert qui vous sert de cerveau.

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